Santé Plus Magazine : médecine, nutrition, beauté, forme, bien être, Remèdes naturelles…

Les buveurs de thé vivent plus longtemps et en meilleure santé !

Les buveurs de thé s’unissent: boire apparemment la boisson chaude au moins trois fois par semaine est lié à une vie plus longue et plus saine.

Les buveurs de thé vivent plus longtemps et en meilleure santé ! Ce n’est pas le slogan de la nouvelle campagne de Mariage Frères, mais la conclusion des résultats d’une étude conduite par des chercheurs français présentés au Congrès annuel de la Société européenne de cardiologie (European Society of Cardiology, ESC) à Barcelone (Espagne). Ces chercheurs de l’hôpital Georges-Pompidou (AP-HP, Paris) ont analysé les données recueillies auprès de 131 000 personnes âgées de 18 à 95 ans qui avaient fait l’objet d’un bilan de santé.

Pendant un suivi de 3,5 ans, 95 décès d’origine cardiovasculaire et 632 décès d’origine non cardiovasculaire ont été constatés.

Les chercheurs ont déclaré qu’en moyenne, les personnes qui consommaient de grandes quantités de thé avaient une tension artérielle plus basse, des taux de cholestérol inférieurs ainsi qu’un IMC (indice de masse corporelle) plus bas, fumaient moins de tabac et étaient physiquement plus actives que les personnes ne buvant pas de thé… mais attention comme le précise l’agence APA l’étude ne permet pas de conclure que la consommation de thé ferait baisser risque de mortalité cardiovasculaire.

Les rapports des tumeurs dans les groupes de traitement des souris ont été examinés dans les trois, cinq, sept, neuf et 11 jours après le traitement.

Les chercheurs ont découvert que l’aspirine, à ses différentes doses, entraînait une “mort cellulaire programmée”, un mécanisme qui entraîne la mort des cellules cancéreuses, car elle augmentait dans toutes les lignées de cellules cancéreuses, selon les ratios d’aspirine couverts par les souris.

Ils ont ajouté que leur étude a révélé que l’aspirine se produit de manière similaire à l’effet “domino” de la mort des cellules cancéreuses, indépendamment des mutations génétiques subies par les souris, en plus de ses effets protecteurs contre les tumeurs cancéreuses et empêchant le risque de retour de la maladie.